Mardi 6 juin, lors de la 14ème journée de mobilisation contre la réforme des retraites, notre camarade Clément de Sud Education 31-65, a été interpellé comme de nombreuses autres personnes.
Après une garde à vue de 48h et un déferrement au palais de justice en vue d’une comparution devant le procureur, notre camarade s’est vu signifier une interdiction de manifester dans l’attente de son procès.
Chaque journée de mobilisation qui passe est un cap supplémentaire franchi dans la violence et la répression de la contestation des politiques mortifères du gouvernement.
Depuis des mois, ce gouvernement aux abois, utilise tous les moyens pour réprimer chaque contestation.
Comme partout en France les arrestations arbitraires et massives ne sont rien d’autre que des tentatives de semer la peur parmi les centaines de milliers de personnes opposées à toutes ces réformes antisociales.
Nous continuerons de lutter et de soutenir tou·tes celles et ceux qui subissent la répression du mouvement social.
Nous ne céderons pas face à des pratiques de cet acabit.
Relaxe pour tou·tes les inculpé·es du mouvement social.
Halte à la répression !